L’hyperactivité chez l’enfant est notamment due à l’environnement dans lequel il est inséré. L’urbanisation a banni la nature de notre quotidien. Les récentes études menées par des chercheurs hongkongais ont permis d’établir qu’il était possible de réduire les effets de l’hyperactivité en plaçant l’enfant dans un cadre naturel.
Un environnement naturel pour résoudre l’activité
Un enfant hyperactif est très dynamique, il dépense beaucoup d’énergie en restant presque jamais tranquille. Son dynamisme affecte pourtant son attention et gêne son entourage. Dans la majorité des cas, ces enfants subissent un échec scolaire fulgurant dû à ce manque de concentration.
- Première étape : diagnostiquer l’hyperactivité
Tous les enfants se comportent à peu près de la même manière. Un enfant hyperactif est cependant plus agité que les autres. Il est primordial de trouver un psy à Schaerbeek pour établir la présence ou non de l’hyperactivité chez un enfant. En effet, l’hyperactivité est un trouble du comportement que seuls les professionnels peuvent reconnaitre. La pédopsychiatrie permet de réduire les effets de l’hyperactivité, notamment en aidant l’enfant à se recentrer sur ses études. Lorsque l’enfant est jeune, il n’est pas conseillé de faire appel à un traitement médicamenteux qui pourrait avoir des effets secondaires désastreux sur ses facultés physiques et psychiques.
- Seconde étape : établir l’environnement sain
Beaucoup de personnes ont peur de la nature en générale, et projettent cette même peur à leurs enfants. La nature permet pourtant à l’enfant de se dépenser physiquement et par conséquent de réduire les effets de l’hyperactivité. La reconnexion à la nature permet donc de limiter les effets et les difficultés comportementales chez l’enfant. Il est donc intéressant pour une famille de programmer des sorties à la campagne ou dans les parcs pour permettre à l’enfant de guérir tout en s’amusant. Ces activités en nature doivent se faire en famille pour apporter un soutien psychologique à l’enfant. Ces sorties permettent de resserrer les liens familiaux qui sont indispensables pour le bon développement de l’enfant ; mais aide également l’enfant à réguler son rythme de vie.
Une pénétration de la nature dans le quotidien
Les sorties ne peuvent être que ponctuelles, car le retour à la vie normale et à l’environnement urbaniser est inévitable. Il est donc important de rapporter de cette nature dans le quotidien de l’enfant pour qu’il puisse rester sur la bonne voie.
- Troisième étape : une alimentation équilibrée
Les aliments sont source d’énergie. De ce fait négliger l’alimentation de l’enfant hyperactif peut aggraver son état. Comme l’enfant déborde d’énergie, il est conseillé de ne pas fournir à l’enfant des aliments riches en sucre. Un taux de glycémie élevé chez les enfants augmente le risque de l’hyperactivité et des actions agressives. En effet, après avoir consommé trop de sucre, l’enfant aura un pic glycémique qui libérera de l’insuline. La baisse brutale du taux de sucre fera monter en flèche le taux d’adrénaline et il y aura une hyperexcitation d’où les comportements dynamiques et agressifs de l’enfant hyperactif. Il ne s’agit cependant pas d’éliminer le sucre de l’alimentation de l’enfant. Il est nécessaire de trouver un bon équilibre et d’éviter de manger trop fréquemment les plats des fast-foods.
