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Devenir médecin en France avec un diplôme étranger.

Actuellement, dans le secteur de la santé, la France manque beaucoup de personnel à travers certaines spécialités ou encore les inégalités régionales. C’est pour cette raison que le nombre de praticiens diplômés hors de la France a tendance à hausser ces derniers temps. Donc, ce blog consiste à vous guider le mieux possible pour travailler en France dans le secteur de la santé.

Les différents critères de médecins pour les diplômés à l’étranger.

D’abord, les diplômés d’Europe, emploi medecin, en effet, ce sont des praticiens qui ont décroché  leur diplôme dans l’Union européenne en étant originaire des Etats membres.

Ensuite, pour exercer la médecine en France, il est indispensable de remplir quelque condition. Il faut normalement être de nationalité Française, notamment d’un pays de la Tunisie, du Maroc, d’Andorre ou bien d’un pays de la zone EEE (Espace Economique Européen). Il faut ensuite être titulaire d’un diplôme de médecin français ou bien un équivalent reconnu. Le dernier critère est d’être inscrit au conseil de l’Ordre.

Enfin, l’inscription à l’Ordre est en principe obligatoire pour tout médecin en exercice sous peine de prolongement pour exercice illégal de la médecine. Ainsi, la France attribue un statut aux personnes diplômées de pays membre de l’EEE, étant regroupé par les 27 pays de l’Union Européenne, la Norvège et le Liechtenstein. Cependant, en fonction du diplôme et de la nationalité du médecin, le processus d’accès à l’exercice de la médecine en France se modifie.

L’analyse sur l’inscription au tableau de l’Ordre.

En principe, tout médecin doit êtreinscrit au tableau de l’Ordre pour pouvoir exercer en France. Le requérant doit établir un dossier qu’il doit envoyer au Conseil de l’Ordre du département parmi lequel il compter exercer. Cependant, le demandeur doit fournir les dossiers comme : un extrait d’acte de naissance de même qu’une photocopie d’une pièce d’identité en cours de validité ; une attestation de nationalité délivrée par une autorité compétente dans le cas échéant ; une copie de l’un des diplômes, certificats ; une déclaration sur l’honneur du requérant certifiant qu’aucune pétition pouvant donner lieu à condamnation susceptible d’avoir des séquelles sur l’enregistrement au tableau n’est en cours à son encontre. En outre, le conseil aura trois mois pour statuer sur la demande d’inscription du médecin, toutefois à compter de la réception du dossier complet. Par contre, l’absence de réponse doit être observée comme un refus implicite du conseil.